Jade from Paris: "Je suis une légende"

dimanche 6 janvier 2008

"Je suis une légende"


Ca faisait belle lurette que je n'étais pas allée au cinéma, et mon retour dans les salles obscures a été, ma foi, très plaisant. Pas seulement grâce au pop-corn, mais aussi grâce au film que j'ai vu: Je suis une légende de Francis Lawrence, avec à l'affiche le beau Will Smith; et oui, les années ont beau passer, il ne perd pas de son charme le bel homme :) Et on retrouve même la fille de Will, qui joue le rôle de la petite Marley et qui est trop mignonne, soit dit en passant. Bref, le film, inspiré d'un roman de Richard Matheson, se passe en 2012, après la découverte d'un traitement miracle du cancer; mais ce traitement, qui au départ guérit prodigieusement, propage un virus "mortel" pour la plupart des hommes et des animaux. Robert Neville (alias Will), un colonel dans l'armée qui est également virologue, est immunisé contre le virus mais met tout en oeuvre pour trouver le vaccin miracle, qui pourra sauver les êtres infectés. Et ces êtres infectés, se sont tout simplement de vilains mutants plus vraiment humains qui hurlent à tout va, et ça, ça me fait vachement peur. 1h40 de sursauts et de petits cris, à broyer le bras gauche de Chéri! J'ai trouvé que le film parvenait à conserver un suspens jusqu'à la fin, grâce à des scènes terrorisantes (pour moi hein) ni trop nombreuses, ni trop attendues. Sans oublier un certain humour, qui m'a permis de souffler un peu entre deux chasses aux Alpha. La fin, cependant, m'a semblé un peu plate par rapport au reste du film; je m'attendais à un dernier rebondissement, comme l'apparition d'un mannequin féminin de la boutique de DVD devant la porte blindée... Je n'en dis pas plus, peut-être voulez-vous le voir d'ici peu :) Ah oui, un dernier mauvais petit point: le proud patriotism & conservatism qui apparaît à un moment m'a plutôt génée, puisqu'en plus l'histoire n'aurait en rien été ratée sans lui... Après, je ne suis ni l'auteur, ni le réalisateur: juste une spectatrice qui est rentrée chez elle hier avec des étoiles -mutantes- plein les yeux!